La saison après l'hiver, logiquement. Le moment où les feuilles remontent dans les arbres, où les oiseaux font leurs valises pour retourner dans le nord. C'est encore un peu froid, parfois les tempêtes de neige vont faire à leur tête et venir nous visiter une dernière fois au début d'avril, alors qu'on a déjà commencé à acheter nos vêtements légers. Court moment de négativisme qui revient, juste pour rappeler comment l'hiver est désagréable quand il le veut et qu'il lâche pas le morceau. Arrête de nous narguer comme ça, saison démentielle.
Le printemps, mot qui veut en dire peu en français. Pour la partie temps ça va, mais le prin, personnellement, j'en ai jamais entendu parler. Plus évocateur dans sa forme anglophone de spring, comme si la nature rebondissait finalement en revenant à la vie. Les bourgeons, les oiseaux qui chantent le matin, le gazon qui change de couleur on ne sait trop comment, l'eau qui reprend sa chaleur. La vie qui se fait sentir.
Sentir l'odeur du printemps. Pas nécessairement ce qui décongèle de l'hiver et qui est désagréable, mais bien cette odeur de renouveau, comme si justement, tout sortait de son cocon pour se découvrir, pour ramener nos sens à travailler. Le Soleil qui devient plus rayonnant, le ciel qui redevient bleu, les couleurs qui nous envahissent de tous les côtés, sous toutes les formes.
Les visages qui se découvrent, les formes qui redeviennent uniques à chaque personne une fois ce gros manteau d'hiver rangé dans le placard, les expressions crispées qui font place aux sourires. C'est la saison de l'anticipation du temps où il fera chaud, où on peut penser aux folies de la vie, aux voyages, à s'amuser, à relaxer. L'hiver pour certain est un synonyme de tout ça, mais les temps plus chauds sont naturellement plus propices au divertissement, au plaisir. On retrouve une légèreté dans le quotidien. Le poids de la vie semble moins lourd.
Le printemps de la vie, aussi. Quelque chose comme l'adolescence, où on se découvre, où les secrets de l'existence se révèlent à nous. On grandit, on apprend à connaître les autres, notre environnement, à savoir ce qu'on deviendra dans les saisons subséquentes. C'est pas toujours les moments les plus agréables. On marche encore dans la slush, y'a des journées plus froides, des journées où t'aurais préféré rester en dedans. T'as les nuages qui pleurent souvent un mélange de pluie et de glace. Tu sais pas trop quel manteau porter, si t'es mieux de garder tes bottes pour être mieux protégé ou changer aux souliers pour te sentir un peu plus libre. T'as une petite nostalgie de l'hiver du début de vie, mais en même temps, l'été semble tellement mieux, tellement plus inspirant.
Parce que l'été qui suit dans notre évolution, c'est la plus belle des saisons. C'est là que la nature est à son mieux, que la vie éclate de partout, qu'on veut vivre le plus possible. C'est aussi le moment qui semble le plus court en rétrospective, qui nous glisse entre les doigts, et ça, qu'on en profite ou pas. C'est vrai que les meilleurs moments durent jamais très très longtemps. Pas assez longtemps. Malheureusement.
Sentir l'odeur du printemps. Pas nécessairement ce qui décongèle de l'hiver et qui est désagréable, mais bien cette odeur de renouveau, comme si justement, tout sortait de son cocon pour se découvrir, pour ramener nos sens à travailler. Le Soleil qui devient plus rayonnant, le ciel qui redevient bleu, les couleurs qui nous envahissent de tous les côtés, sous toutes les formes.
Les visages qui se découvrent, les formes qui redeviennent uniques à chaque personne une fois ce gros manteau d'hiver rangé dans le placard, les expressions crispées qui font place aux sourires. C'est la saison de l'anticipation du temps où il fera chaud, où on peut penser aux folies de la vie, aux voyages, à s'amuser, à relaxer. L'hiver pour certain est un synonyme de tout ça, mais les temps plus chauds sont naturellement plus propices au divertissement, au plaisir. On retrouve une légèreté dans le quotidien. Le poids de la vie semble moins lourd.
Le printemps de la vie, aussi. Quelque chose comme l'adolescence, où on se découvre, où les secrets de l'existence se révèlent à nous. On grandit, on apprend à connaître les autres, notre environnement, à savoir ce qu'on deviendra dans les saisons subséquentes. C'est pas toujours les moments les plus agréables. On marche encore dans la slush, y'a des journées plus froides, des journées où t'aurais préféré rester en dedans. T'as les nuages qui pleurent souvent un mélange de pluie et de glace. Tu sais pas trop quel manteau porter, si t'es mieux de garder tes bottes pour être mieux protégé ou changer aux souliers pour te sentir un peu plus libre. T'as une petite nostalgie de l'hiver du début de vie, mais en même temps, l'été semble tellement mieux, tellement plus inspirant.
Parce que l'été qui suit dans notre évolution, c'est la plus belle des saisons. C'est là que la nature est à son mieux, que la vie éclate de partout, qu'on veut vivre le plus possible. C'est aussi le moment qui semble le plus court en rétrospective, qui nous glisse entre les doigts, et ça, qu'on en profite ou pas. C'est vrai que les meilleurs moments durent jamais très très longtemps. Pas assez longtemps. Malheureusement.
et le moment qui nous rappelle que bientôt il va faire 40 degrés dans nos appart !
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